10 juillet 2009
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Cher lecteur, chère lectrice,
Vous avez sûrement reçu dans votre boîte aux lettres le magazine Première ligne, journal du Conseiller général Cyrille Déchenoix. Ce dernier y expose son action et son engagement politiques. Par ailleurs, il s'y inscrit comme fidèle à la majorité présidentielle et membre de l'opposition asniéroise.
Or vous n'êtes pas sans savoir que depuis les élections municipales de 2008 ne siège, au conseil municipal, qu'un seul groupe d'opposition, l'UMP. Un seul groupe puisque les autres formations politiques à Asnières forment une alliance majoritaire que Cyrille Déchenoix qualifie, dès la première page de son magazine, « d'alliance contre nature ».
Pourtant ceux qui suivent l'actualité politique asniéroise savent bien que dès le 2e conseil municipal de la nouvelle majorité Cyrille Déchenoix s'est exclu du groupe d'opposition que dirige dorénavant Marie-Dominique Aeschlimann en affirmant qu'il n'était pas au courant de la gestion municipale des 7 dernière années et « qu'on lui aurait menti » (ce qui lui a valu par la suite le surnom donné, en off par ses anciens militants à Asnières, de 'Déchenrunque')
Page 8, de son journal d'élu, Cyrille Déchenoix livre son curriculum vitae à ses lecteurs. On y voit qu'il a été adjoint pendant 7 ans de l'ancienne majorité et qu'il continue à se revendiquer comme un fervant partisan UMP.
Enfin, page 10, Cyrille nous livre sa vision du « Respect ! Pour les citoyens et la démocratie ». Il y dit écrit : « ... nous devons tous nous respecter, parce nous donnons de nous et de la politique une image qui la sert ou la décrédibilise. »
Nous ne pouvons qu'être d'accord avec ce vœu pieux. Mais puisque Cyrille évoque la crédibilité comment expliquer alors toutes ces attaques personnelles portées directement contre Marie-Dominique et Manuel Aeschlimann ?
En Une, il évoque et critique l'ancienne gestion municipale avec des propos à la limite de la diffamation. Page 2, il insiste : « Dans un contexte de rejet et de sanction d'une politique municipale confisquée par l'ancien maire (...) mais en désaccord avec les méthodes et les agissements de l'ancienne municipalité (...) ». Nous préférons d'ailleurs arrêter-là la reprise des propos tenus dans cette feuille de choux. Ce serait trop d'honneur pour son rédac'chef.
Enfin, toujours page 2, Cyrille Dechenoix indique qu'il « incarne une nouvelle position, moderne, alternative, dynamique et propose une nouvelle voix » au sein de l'UMP. C'est lui qui l'affirme mais à ce jour cette mission, ce statut, au sein de l'UMP ne sont attestés et reconnus par aucun des responsables politiques du mouvement. Pire, il a même été discrètement rappelé à l'ordre le 2 juillet dernier par Nicolas Sarkozy (voir l'article du Parisien) !
Mais quelle mouche pique Cyrille Dechenoix ?
À l'heure de l'unité et de la reconquête de la ville cet élu insiste sur la mandature précédente à laquelle il ne s'est jamais opposé et qu'il a défendu avec vigueur lors de la dernière campagne des municipales (voir un exemple en vidéo). Il continue à attaquer Marie-Dominique et Manuel Aeschlimann alors même que le Président de la République leur a renouvelé sa confiance et son amitié.
Vouloir marquer sa différence en trahissant ses amis n'est, en tout état de cause, pas une bonne stratégie politique. Pire, c'est une faute lourde qui laisse supposer que l'opposition est divisée alors que tel n'est pas le cas. Cyrille Déchenoix, dans son action politique actuelle, ne fait que reprendre, au niveau municipal, les arguments du groupe mené de main de maître par Marie-Dominique Aeschlimann. Il n'a aucune cause qui lui est propre.
Cyrille Déchenoix évoque le rescpect et la crédibilité... Il est bien avisé de le faire et c'est sûrement et hélas un acte manqué de sa part car son attitude et ses engagements sont d'une contradiction telle qu'on se demande s'il respecte vraiment ses électeurs... Et finalement, se respecte-t-il ?
Cyrille Déchenoix pour marquer sa différence tire à boulets rouges sur son ancien « patron » qu'il accuse de tous les mots. Un peu comme si lui-même n'avait toujours pas digéré la défaite.
Bon nombre des soutiens actuels de Marie-Dominique et Manuel Aeschlimann ont aidé Cyrille à prendre son envol, lui ont collé des affiches, ont assisté à ses réunions publiques où la foule n'était pas toujours au rendez-vous... Ces soutiens, tous ces bénévoles qui ont fait campagne pour lui parce que Manuel Aeschlimann leur avait demandé de lui accorder leur confiance, que disent-ils aujourd'hui d'un élu qui dénonce tout ce que lui-même a semblé être de 2001 à 2007 en votant toutes les décisions et en étant adjoint de surcroît ?
Que faites-vous donc M. Déchenoix ?
Vous avez sûrement reçu dans votre boîte aux lettres le magazine Première ligne, journal du Conseiller général Cyrille Déchenoix. Ce dernier y expose son action et son engagement politiques. Par ailleurs, il s'y inscrit comme fidèle à la majorité présidentielle et membre de l'opposition asniéroise.
Or vous n'êtes pas sans savoir que depuis les élections municipales de 2008 ne siège, au conseil municipal, qu'un seul groupe d'opposition, l'UMP. Un seul groupe puisque les autres formations politiques à Asnières forment une alliance majoritaire que Cyrille Déchenoix qualifie, dès la première page de son magazine, « d'alliance contre nature ».
Pourtant ceux qui suivent l'actualité politique asniéroise savent bien que dès le 2e conseil municipal de la nouvelle majorité Cyrille Déchenoix s'est exclu du groupe d'opposition que dirige dorénavant Marie-Dominique Aeschlimann en affirmant qu'il n'était pas au courant de la gestion municipale des 7 dernière années et « qu'on lui aurait menti » (ce qui lui a valu par la suite le surnom donné, en off par ses anciens militants à Asnières, de 'Déchenrunque')
Page 8, de son journal d'élu, Cyrille Déchenoix livre son curriculum vitae à ses lecteurs. On y voit qu'il a été adjoint pendant 7 ans de l'ancienne majorité et qu'il continue à se revendiquer comme un fervant partisan UMP.
Enfin, page 10, Cyrille nous livre sa vision du « Respect ! Pour les citoyens et la démocratie ». Il y dit écrit : « ... nous devons tous nous respecter, parce nous donnons de nous et de la politique une image qui la sert ou la décrédibilise. »
Nous ne pouvons qu'être d'accord avec ce vœu pieux. Mais puisque Cyrille évoque la crédibilité comment expliquer alors toutes ces attaques personnelles portées directement contre Marie-Dominique et Manuel Aeschlimann ?
En Une, il évoque et critique l'ancienne gestion municipale avec des propos à la limite de la diffamation. Page 2, il insiste : « Dans un contexte de rejet et de sanction d'une politique municipale confisquée par l'ancien maire (...) mais en désaccord avec les méthodes et les agissements de l'ancienne municipalité (...) ». Nous préférons d'ailleurs arrêter-là la reprise des propos tenus dans cette feuille de choux. Ce serait trop d'honneur pour son rédac'chef.
Enfin, toujours page 2, Cyrille Dechenoix indique qu'il « incarne une nouvelle position, moderne, alternative, dynamique et propose une nouvelle voix » au sein de l'UMP. C'est lui qui l'affirme mais à ce jour cette mission, ce statut, au sein de l'UMP ne sont attestés et reconnus par aucun des responsables politiques du mouvement. Pire, il a même été discrètement rappelé à l'ordre le 2 juillet dernier par Nicolas Sarkozy (voir l'article du Parisien) !
Mais quelle mouche pique Cyrille Dechenoix ?
À l'heure de l'unité et de la reconquête de la ville cet élu insiste sur la mandature précédente à laquelle il ne s'est jamais opposé et qu'il a défendu avec vigueur lors de la dernière campagne des municipales (voir un exemple en vidéo). Il continue à attaquer Marie-Dominique et Manuel Aeschlimann alors même que le Président de la République leur a renouvelé sa confiance et son amitié.
Vouloir marquer sa différence en trahissant ses amis n'est, en tout état de cause, pas une bonne stratégie politique. Pire, c'est une faute lourde qui laisse supposer que l'opposition est divisée alors que tel n'est pas le cas. Cyrille Déchenoix, dans son action politique actuelle, ne fait que reprendre, au niveau municipal, les arguments du groupe mené de main de maître par Marie-Dominique Aeschlimann. Il n'a aucune cause qui lui est propre.
Cyrille Déchenoix évoque le rescpect et la crédibilité... Il est bien avisé de le faire et c'est sûrement et hélas un acte manqué de sa part car son attitude et ses engagements sont d'une contradiction telle qu'on se demande s'il respecte vraiment ses électeurs... Et finalement, se respecte-t-il ?
Cyrille Déchenoix pour marquer sa différence tire à boulets rouges sur son ancien « patron » qu'il accuse de tous les mots. Un peu comme si lui-même n'avait toujours pas digéré la défaite.
Bon nombre des soutiens actuels de Marie-Dominique et Manuel Aeschlimann ont aidé Cyrille à prendre son envol, lui ont collé des affiches, ont assisté à ses réunions publiques où la foule n'était pas toujours au rendez-vous... Ces soutiens, tous ces bénévoles qui ont fait campagne pour lui parce que Manuel Aeschlimann leur avait demandé de lui accorder leur confiance, que disent-ils aujourd'hui d'un élu qui dénonce tout ce que lui-même a semblé être de 2001 à 2007 en votant toutes les décisions et en étant adjoint de surcroît ?
Que faites-vous donc M. Déchenoix ?